Didier Epsztajn

La mise à (re)disposition de ces textes devrait susciter des débats. Ils soulignement, une fois de plus, l’indispensable « prisme » du genre pour analyser toutes les activités humaines. Il n’y a pas de neutralité sociale du militaire et les armes ne servent qu’à tuer.

Entre les lignes entre les mots