Jules Falquet
Pax neoliberalia
De Jules FalquetLire l’introduction
Solidement ancré dans les recherches féministes sur la mondialisation et sur la dynamique des rapports sociaux de sexe, de race et de classe, ce livre est un essai sur l’emploi méthodique de la coercition au service de la mondialisation néolibérale.
L’instrumentalisation d’une violence en apparence « aveugle », mais en fait très contrôlée, dessine le fil rouge reliant entre eux les quatre textes qui le composent. Proximité troublante de la torture avec la violence domestique (au Salvador)… Création de la classe masculine des “frères d’armes” par le service militaire (en Turquie)… Diffusion des techniques de guerre de basse intensité (au Mexique)… Perpétuation (néo)-coloniale des violences contre les femmes indiennes (au Guatemala)…
Jules Falquet croise différents niveaux d’analyse pour rapprocher des perspectives généralement cantonnées à des sphères séparées. En révélant les continuités qui rattachent la violence misogyne aux méthodes coercitives militaro-policières, cette approche met à jour les logiques genrées de la « gouvernance » mondialisée, ici nommée, par antiphrase, Pax neoliberalia.
Octobre 2016 – 192 p. – 14 x 18 cm
Joëlle Palmieri
Pax Neoliberalia représente vingt ans de travail assidu, dans le prolongement du premier livre de Jules Falquet, De gré ou de force, les femmes dans la mondialisation (2008), qui analysait la mondialisation libérale sous l’angle de la captation des propositions des mouvements féministes au service de l’exploitation du travail des femmes. Et il s’inscrit dans… Lire plus « Joëlle Palmieri »
Sophie Wustefeld
Voici un ouvrage fondamental pour comprendre les ressorts de l’alliance entre néolibéralisme et violences envers les femmes.
L’avis du libraire
Un essai sur l’usage méthodique de la coercition au bénéfice de la globalisation néo-libérale.
Oriane Petteni
Soustrayant les violences perpétuées contre les femmes au traitement en « fait divers » bien souvent opéré par les médias, l’ouvrage de Falquet permet de les replacer dans un contexte structurel de maintien et de renforcement de deux groupes sociaux séparés, la classe des hommes et la classe des femmes, et de rattacher les cas singuliers à la « guerre de basse intensité » de la classe des hommes contre la classe des femmes.
Pascal Maillard
D’une écriture élégante et précise, s’appuyant sur de nombreux témoignages, ses 170 pages se lisent facilement, pour notre plus grande instruction. Ce livre nécessaire parle de notre présent, mais aussi d’un futur très inquiétant.
Christiane Passevant
Jules Falquet montre combien l’utilisation de la terreur sur des populations civiles, en priorité sur les femmes, avec les assassinats, la torture issue de la colonisation, que cette utilisation de la terreur est un enjeu politique lié au néolibéralisme, et au service des multinationales, des États, des complexes militaro industriels…
Crêpe Georgette
L’auteure arrive magistralement à montrer, par exemple, combien la violence patriarcale et celle née du néo-libéralisme touchent en tout premier lieu les femmes (et encore davantage si elles sont racisées).
Didier Epsztajn
Merci aux Editions iXe pour la (re)mise à disposition de ces textes, outils de réflexion sur le néolibéralisme et les violences contre les femmes.
Lourdes Méndez
La riqueza del libro de Jules Falquet, la sutileza de su análisis hacen de Pax neoliberalia un texto de lectura más que recomendable para todas aquellas personas deseosas de seguir elaborando análisis críticos feministas sobre las complejas realidades del mundo en el que vivimos.
Pax neoliberalia est traduit en espagnol
Pax neoliberalia. Perspectivas feministas sobre (la reorganizacion de la) violencia contra las mujeres a intégré en 2017 le catalogue de la maison d’édition Madreselva (Buenos Aires). Le livre est traduit en espagnol par Javiera Coussieu Reyes.
15.00€
Lire l’introduction
Solidement ancré dans les recherches féministes sur la mondialisation et sur la dynamique des rapports sociaux de sexe, de race et de classe, ce livre est un essai sur l’emploi méthodique de la coercition au service de la mondialisation néolibérale.
L’instrumentalisation d’une violence en apparence « aveugle », mais en fait très contrôlée, dessine le fil rouge reliant entre eux les quatre textes qui le composent. Proximité troublante de la torture avec la violence domestique (au Salvador)… Création de la classe masculine des “frères d’armes” par le service militaire (en Turquie)… Diffusion des techniques de guerre de basse intensité (au Mexique)… Perpétuation (néo)-coloniale des violences contre les femmes indiennes (au Guatemala)…
Jules Falquet croise différents niveaux d’analyse pour rapprocher des perspectives généralement cantonnées à des sphères séparées. En révélant les continuités qui rattachent la violence misogyne aux méthodes coercitives militaro-policières, cette approche met à jour les logiques genrées de la « gouvernance » mondialisée, ici nommée, par antiphrase, Pax neoliberalia.
Octobre 2016 – 192 p. – 14 x 18 cm
Joëlle Palmieri
Pax Neoliberalia représente vingt ans de travail assidu, dans le prolongement du premier livre de Jules Falquet, De gré ou de force, les femmes dans la mondialisation (2008), qui analysait la mondialisation libérale sous l’angle de la captation des propositions des mouvements féministes au service de l’exploitation du travail des femmes. Et il s’inscrit dans… Lire plus « Joëlle Palmieri »
Sophie Wustefeld
Voici un ouvrage fondamental pour comprendre les ressorts de l’alliance entre néolibéralisme et violences envers les femmes.
L’avis du libraire
Un essai sur l’usage méthodique de la coercition au bénéfice de la globalisation néo-libérale.
Oriane Petteni
Soustrayant les violences perpétuées contre les femmes au traitement en « fait divers » bien souvent opéré par les médias, l’ouvrage de Falquet permet de les replacer dans un contexte structurel de maintien et de renforcement de deux groupes sociaux séparés, la classe des hommes et la classe des femmes, et de rattacher les cas singuliers à la « guerre de basse intensité » de la classe des hommes contre la classe des femmes.
Pascal Maillard
D’une écriture élégante et précise, s’appuyant sur de nombreux témoignages, ses 170 pages se lisent facilement, pour notre plus grande instruction. Ce livre nécessaire parle de notre présent, mais aussi d’un futur très inquiétant.
Christiane Passevant
Jules Falquet montre combien l’utilisation de la terreur sur des populations civiles, en priorité sur les femmes, avec les assassinats, la torture issue de la colonisation, que cette utilisation de la terreur est un enjeu politique lié au néolibéralisme, et au service des multinationales, des États, des complexes militaro industriels…
Crêpe Georgette
L’auteure arrive magistralement à montrer, par exemple, combien la violence patriarcale et celle née du néo-libéralisme touchent en tout premier lieu les femmes (et encore davantage si elles sont racisées).
Didier Epsztajn
Merci aux Editions iXe pour la (re)mise à disposition de ces textes, outils de réflexion sur le néolibéralisme et les violences contre les femmes.
Lourdes Méndez
La riqueza del libro de Jules Falquet, la sutileza de su análisis hacen de Pax neoliberalia un texto de lectura más que recomendable para todas aquellas personas deseosas de seguir elaborando análisis críticos feministas sobre las complejas realidades del mundo en el que vivimos.
Pax neoliberalia est traduit en espagnol
Pax neoliberalia. Perspectivas feministas sobre (la reorganizacion de la) violencia contra las mujeres a intégré en 2017 le catalogue de la maison d’édition Madreselva (Buenos Aires). Le livre est traduit en espagnol par Javiera Coussieu Reyes.